Reprise des bonnes habitudes au lycée !
Comme cela se pratiquait avant « les années Covid », à l’initiative de l’équipe E3D, formée des éco-délégués de chaque classe et du comité de pilotage, nous organisons chaque semaine, depuis mai, le ramassage des déchets à l’intérieur et aux abords du lycée.
La première a eu lieu mercredi 10 mai avec Marion Roussel et sa classe de 2de 3, la 2è fois, c’est la classe de 2de 8 qui a fait ce travail que nous nommons « éco-participation », la 3ème fois, c’était le tour de la Première G5.
Le constat est qu’il y a beaucoup trop de papiers et autres emballages au sol, jetés par des élèves négligents, alors que nous avons le privilège d’être entourés d’arbres, de fleurs, de bosquets très bien entretenus !
Le lycée vise par cette action et d’autres éco-gestes la labellisation E3D du lycée en 2023 : la reconnaissance de tout le travail mené entre 2016 et 2019 pour améliorer l’environnement au lycée (jardin, plantations, faré traditionnel…) et celle des actions suivies jusqu’à présent autour de la santé (interventions sur les addictions, le consentement, la sexualité), du bien-être à l’école (préparation à l’oral et à la gestion du stress grâce au financement de l’APE en 1ère et Tle), journée pour les délégués à la Maison de la Parole en début d’année, organisation de sorties culturelles au théâtre, au cinéma, au Centre Culturel Tjibaou…
Les projets en 2023 sont proposés par des élèves éco-délégués !
Concernant les déchets, chaque classe contribuera une fois dans l’année, sur une heure d’étude, encadrée par Christelle Geslin, référente E3D, une jeune femme en Service civique et les 5 délégués de chaque classe (2 délégués, 2 suppléants, 1 éco-délégué. La séance apparaît sur l’emploi du temps. Les élèves utilisent des pinces comme les cantonniers ou un gant de protection.
Les 1ers participants ont remarqué le volume des saletés, surtout autour des places de stationnement des voiturettes … Une vigilance particulière est portée sur les petits bouts d’emballage plastique, surtout les brillants, car ils risquent de se retrouver dans l’estomac des oiseaux et autres petits animaux attirés par ces leurres. Prendre conscience de la dangerosité du moindre morceau de plastique pour la nature permettra d’ancrer, nous l’espérons, de bonnes habitudes, utiles aussi bien sur la terre qu’en mer !
Pour l’équipe E3D, Christelle, documentaliste.
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